Mon cul
- C
- 8 août 2021
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 1 nov. 2021

Mes fesses font partie de mes nombreuses zones (très) érogènes, sensibles aux effleurements, aux caresses et aux baisers,... ou à une fessée modérée.
Mon anus est également érogène et s’approche avec douceur. S’il vous plait de pratiquer sur moi l’anulingus, c’est une pratique qui me procure beaucoup de plaisir.
Un doigt délicat restant sur le seuil peut être agréable et excitant aussi.
Et puis il y a cette question récurrente : la sodomie.
Elle n’est pas dans mes pratiques. En aucun cas, vous ne pouvez la réclamer.
Il m’arrive pourtant parfois de l’accepter - et de l’apprécier.
Les conditions pour que ça advienne :
la taille de votre bite doit être raisonnable
nous devons être familiers
il faut que vous vous soyez montrés réceptifs et capables de délicatesse
il faut que j’en ai envie à l’instant T.
La sodomie n’est donc jamais garantie. Insister est un très bon moyen pour que ça n’arrive jamais.
Si votre venue est conditionnée par cette pratique, je n’ai pas envie de vous rencontrer.
Préparer ?
Je précise que je ne fais pas de lavement. D’abord, ça n’a pas de sens puisque je ne prévois pas la sodomie à l’avance et qu’elle reste une exception. Ensuite des lavements répétés sont mauvais pour la flore, le jeu n’en vaut pas la chandelle.
Acceptez les risques inhérents à cette pratique ou renoncez.
Si je le sens bien sur le moment, je n’ai pas vraiment besoin de « préparation ».
Si vous aimez le pratiquer, un anulingus excitera la zone de manière appréciable (sans être indispensable).
L’usage des doigts pour « m’ouvrir » est contre-productif. Vous avez 9 chances sur 10 de me faire mal et c’est un très bon moyen de diminuer mon excitation voire de me couper totalement l’envie.
Être à mon écoute afin d’être bien orienté est la clef d’une sodomie réussie.
(Et le lubrifiant !)
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